Bienvenue à Mortancia
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 BG Prakx'Za

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Gruzkork, Gorlak




Nombre de messages : 22
Date d'inscription : 02/01/2007

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MessageSujet: BG Prakx'Za   BG Prakx'Za Icon_minitimeMar 2 Jan - 23:20

Bon... J'en ai fait un nouveau. Pas encore la perfection, surtout à mes yeux critiques, mais ca devrais être "pas siii mal"

Cela dit j'aimerais connaitre vos opinions



Citation :
Prakx'Za le Justicier

Un mortanyss déambulait dans les rues de la ville de Mortancia. Il s'arrêta à la taverne pour discuter avec ses frères et sœurs. Avant d'arriver à sa destination, il vit un jeune Hastane se faire dépouiller de ses biens, par un Nargolith. Il avança et mit la main sur l'épaule gauche de celui-ci. L'odeur qui émanait du corps en putréfaction eut tôt fait de distraire le larron. Parlant le plus près possible du nez de son adversaire, il tenta de lui expliquer que c'étais mal. Lâchant tout ce qu'il avait dérobé, il détala comme un lapin poursuivi par le plus gros des ours. Prakx'Za sourit, fier de son coup. Il tendit sa main la moins pourrîte au jeune homme. Celui-ci, répugné, se leva sans aide. Une moue déconfite sur le visage du gamin fit sourire de plus belle Prakx'Za. Il haussa les épaules, trouvant sa main vide. Il aurait bien aimé sentir de l'appréciation. Comme d'habitude, il repart sans le moindre "merci". Il se rendit par la suite à la taverne, où un de ses frères l'interpella:" DiT PrAkX'Za? PoUrQuOi On t'ApPel le JuStiCiEr?" Ainsi, Prakx'Za débuta son récit. Mais tout d'abord, laissez-moi introduire son passé, jusqu'à sa renaissance en tant que Mortanyss.

Jadis un journaliste n'ayant jamais réussi à faire ses preuves, mais qu'on nommait tout de même Renard, tel était le passé de Prakx'Za. Personne ne conaissait la véritable identitée de Renard, mais personne ne voulait la savoir non plus. La seule chose qui intriguait les gens était sa race. Il parlait toutes les langues, et jamais on a vu une parcelle de sa peau, puisqu'il était toujours habillé en gros manteau noir, chapeau à plume blanche, bottes montant à la mi-cuisse. Toujours un calepin et une plume en main, il notait tout ce qui se passait. Du plus petit larcin à l'assassinat d'un maire de ville. On le voyait partout, mais on ne l'attrapait jamais. Chaque semaine un de ses journals sortait. Des dessins faisant penser à ceux qu'un enfant ferait décorait la première page. Le total de ses ventes s'estimait à une centaine dans toutes les landes. Malgré son chiffre d'affaire très bas, il continuait à chaque jour. Une bonne journée ensoleillée, ce fut la derniere fois qu'il espionnait quelqu'un.

Pendant une journée complète, il traqua un riche forgeron Hastane. Lorsqu'il découvrit où il se rendait, il ne put s'empêcher de continuer à le suivre. Six gorlaks se tenaient droit comme des barres, l'attendaient. Le forgeron semblait trainer quelque chose d'important. Un gros sac sur l'épaule il vint à leur rencontre. Aucun garde du corps. Ca intéressait de plus en plus Renard. Il trempa sa plume dans l'encre, prépara la feuille de son calepin. Il ne pouvait pas croire que le riche forgeron Hastane allait procéder à un échange seul avec six Gorlaks!

Renard escalada rapidement l'arbre le plus proche de la scène. Sur une branche qui semblait solide, il s'assit à califourchon, tendant l'oreille pour ne rien manquer à cette conversation. Un gorlak regarda alors dans sa direction, chuchota quelque chose à son compagnon, et détourna le regard vers l'hastane. Un soupire de soulagement faillit faire perdre équilibre à Renard. Il tint bon.

Le sac que portait l'Hastane fût vite en main Gorlak. Un sac d'à moitié la grosseur de ce dernier fût en main de l'hastane. Remerciant ses acheteurs il leur tourna rapidement le dos, clopinant sur la route pour rentrer chez lui. Quatre des Gorlaks marchèrent lentement vers lui. L'un partit en courant et enfonça son épée dans le dos du forgeron. Celui-ci s'écroula instantanément. Les deux Gorlaks restés sur place, lesquels Renard identifia rapidement, se trouvaient à être ceux l'ayant fixé un moment plus tôt. Ils se tournèrent vers lui et avancèrent. Il tenta de rester discret. Arrivés au pied de l'arbre, ils parlaient de choses dépourvues de sens, l'un s'accota sur l'arbre, le faisant branler. L'autre le poussa dessus, faisant perdre équilibre à Renard. Il se soutint grâce à ses bras, mais ses jambes frappèrent le visage d'un gorlak. Celui-ci s'en saisit rapidement, tira brusquement dessus et le fit tomber face première au sol. C'est là qu'il s'évanouit.

Il se reveilla plus tard. Il avait perdu la notion du temps. Depuis combien de temps était-il évanoui? Où était-il. Il s'assit donc, tentant de discerner où il était. Il faisait noir. Très noir. Il avait de la misère à repérer le bout de son nez dans cet obscurité déconcertante. Il tenta de se lever mais en vain. Ses jambes refusaient de bouger. Curieusement, il se rendit comte d'une atroce douleur justement là où ses jambes refusaient de bouger. Lorsqu'il tenta de les toucher, il remarqua qu'elles étaient manquantes. Il constata qu'il était nu comme un ver. On connaissait donc son identité d'Hastane. Du moins peut-être puisqu'il était à présent brûlé partout sur le corps. Il n'avait plus de cheveux, pas même le moindre poil. Il constata aussi que tout son corps le faisait souffrir. Il saignait encore abondamment des jambes. Une odeur de chair brûlé envahit ses narines. Il porta sa main droite à son nez, constatant une fois de plus qu'un membre lui était manquant. Le nez. Il tenta de crier, mais sa gorge semblait manquante. Il toucha. Elle était bien là. Il entendit des pas. Ses bourreaux revenaient. Trois personnes entrèrent, aux allures Hastanes. Trois hastanes qu'il connaissait bien. Un haut gradé de l'armée hastane, contre lequel il avait plusieurs fois fait allusion dans ses journaux prônant son incompétence, un ménestrel ayant commis plusieurs larcin auquel Renard fût témoin et son propre frère, un fidèle servant du haut gradé Hastane. Son frère ne sembla pas le reconnaitre lorsqu'il lui donna un coup dans le bas ventre. Il s'évanouit à cet instant, criant le nom de son frère. Par la suite, il ne s'est plus jamais réveillé de sa "perte de conscience". Il était maintenant dans le royaume des morts.

Ce qui lui parut être un instant, mais qu'il se doutait que c'étais bien plus long, son âme s'envola de sa prison charnelle, et il apparu dans un couloir effrayant pour n'importe quel mortel. Vu son ancienne mortalité et sa mémoire encore intacte, il tomba à la renverse. Curieusement, il ne sentit rien. Il tenta de se relever mais se rendit compte qu'il flottait, et qu'il n'était plus physique. Il passait au travers du sol avec lequel il avait tenté de se lever. Il tenta de pousser un cri de terreur, mais sans corps, il ne pouvait pas parler, puisqu'il n'avait pas de cordes vocales. Il marcha dans le long couloir et avant même d'avoir atteint le bout, il se sentit aspiré dans le sol. Il se réveilla dans un endroit clos, noir et restreint. À ce moment, sa prison s'ouvrit. Il était couché dans un cercueil, et des créatures hideuses l'accueillirent. Des corps squelettiques animés, des ectoplasmes parlant, des zombis rigolant. Il tenta de s'asseoir, mais son corps ne répondait pas. Les monstres tendaient les mains, envoyant des légers filets magiques. Plus il en recevait, plus il se sentait fort. Bien assez qu'à un moment, il réussit à s'asseoir. Il se leva et remarqua que la ville dans laquelle il était semblait différente de toutes celles qu'il n'avait jamais visité de son vivant. Et c'est la dernière chose qu'il se rappela de son vivant, puisqu'il l'oublia cinq secondes après. Il se leva et une liche vint à sa rencontre. Il consulta un registre épais comme trois dictionnaires, et lui souhaitant la bienvenue, lui indiquant qu'il se nommait à présent Prakx'Za. Il aimait bien ce nom. Prakx'Za.

Un squelette vint à sa rencontre. Il se présenta, et lui fit faire le tour de la ville. Curieux comme dix hommes, Prakx'Za buvait les paroles de son interlocuteur, posant des questions idiotes au moindre petit détail. Enfin, lorsqu'ils arrivèrent devant la forge, Prakx'Za demanda ce que c'était. Un forgeron de répondre le squelette. Il lui expliqua qu'on y vendait des armes et armures. Prakx'Za voulut visiter la boutique. Des armes étaient empilées ca et là sur les murs, le sol et étagères. Il attrapa une épée courte, la mania légèrement et rit. Il vit un miroir et s'y dirigea pour se mirer, voir la fier allure qu'il aurait. Le squelette lança un avertissement que Prakx'Za ignora.

En apercevant son reflet dans la glace, il tomba au sol. Quelle laideur! La peau délabrée, le visage pourri. Seules ses jambes étaient inertes. Surpris, il les toucha. Elles étaient normales, comme ceux d'un jeune Hastane. Son torse par exemple. Couvert de pustules jaunâtres, ses avants bras coupés en maints endroits, ses épaules osseuses. Il eut un frisson en se regardant de plus près. Il observa ses mains. Il avait des ongles jaunes et longs. Il se releva, et évita tout contact avec le miroir. Du moins visuel. Il s'approcha du maitre des lieux et lui acheta l'épée. Du moins, le squelette la lui paya, vu qu'il n'avait pas de pièces.

Avec son nouvel ami, ils prirent place sur des bancs. Le squelette lui expliqua l'instinct de fraternité au sein des mortanyss. Donc tous les autres comme lui étaient des frères. Cela fit sourire Prakx'Za. Il avait donc plus de cent frères et sœurs.

Maintenant, pourquoi on l'appel le justicier. Cette histoire est bien simple. Alors qu'il montrait sa nouvelle acquisition à ses frères et sœurs, il vit au loin un de ses frères se faire dépouiller par une ombre vicieuse. Il accouru donc et surprit l'ombre par derrière. Ne connaissant pas les lois de la ville, il se dit qu'un frère en danger devait être sauvé par un coup d'épée sur son bourreau. Trop surprit pour répliquer, l'Ombre tomba au sol. Se relevant rapidement, il détala avant qu'un autre mortanyss n'arrive. Il n'était donc pas si fou. Plus jamais on le revit. Revenant au bancs où les Mortanyss se rencontraient toujours, son frère qu'il avait sauvé le remercia, racontant son courage aux autres frère. Un squelette, rigolant, dit:"Tuu seeraa deesoormaaiis Praakx'Zaa lee Juustiicieer!" Tous acquiescèrent en riant. Prakx'Za aimait ce titre. Il se doutait bien que tout ceci n'était que rigolade, mais il trouvait ce titre valorisant. Il décida donc de devenir un justicier. Un autre Mortanyss vint le voir et lui expliqua qu'une garde existait, et qu'il y serait le bienvenu s'il répondait à ce que celle-ci demandait.

C'est ainsi que le jeune Prakx'Za se fit surnommer le Justicier, et c'est ainsi que se termine son histoire, du moins, son passé. Le présent déterminera le reste de son histoire.
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