[BG] Kziria.

Chapitre 1 : Naissance d'une Anomalie.



Elle était née pendant une tempête, pendant l’hiver. Cet hiver là, avait été particulièrement brutal pour la population du petit village Montagnais où ses parents vivaient. Cette neige était parvenu à emporter plusieurs hommes dans les cieux, surement qu’ils c’était perdus pendant la tempête lorsqu’ils voyageaient, et moururent de froids. La tempête avait durée énormément longtemps, une semaine, peut-être deux. Mais ce village fut marqué aussi par la naissance d’une nouvelle petite fille anormale. Ca mère était déjà prête a accoucher après 7 mois, c’était très prématuré pour un enfant. L’accouchement fut énormément douloureux et difficile pour la jeune femme qu’était sa mère. Une jeune femme de vingt ans, seulement, pleine d’ambition. C’était une hastane, elle avait de longs cheveux blonds ondulés par endroit. Ses yeux bleu perçants pouvait charmer un homme en un seul coup d’œil, comme certain du village disait. C’était la seule chose que Mélodie, avait t’elle été nommée par ses parents, eu de sa mère. Le soigneur qui avait aidé à l’accouchement, fut marqué par non seulement la beauté du bébé, mais par aussi le fait qu’elle semblait morte, c’est a peine qu’elle respirait et qu’on voyait sa poitrine minuscule et frêle bouger. Il su, dès le premier jour, que l’enfance de la petite fille n’allais pas être très longue, mais il avait tord.


Extrait du journal intime de sa mère, le seul :


Ô grand Odéon,

Bénissez ceux que j’aime.

Ma petite fille venait à peine de naitre que le soigneur disait qu’elle n’allait pas vivre longtemps et qu’elle allait toujours être fragile ! Je ferais de mon mieux pour démentir ce que le soigneur pense, elle vivra, très longtemps… Je ne l’ai pas encore vu bouger les bras, mais je sens que ca ne tardera pas, présentement, elle est trop faible. Pourtant je la nourris normalement... Je vais faire mon possible !

Ô grand Odéon,

Bénissez ceux que j’aime.

Donc voilà, une jeune fille venait de naitre cette journée. La question persistait toujours à savoir si elle allait passée le premier hiver, quand elle respirait difficilement et son corps, même pour son âge semblait faible et sans vie. Tous était surpris de voir a quel point sa mère tenait a ce qu’elle vive. Mélodie aussi ce battait constamment pour sa survis, mais ses efforts ne paraissait pas, elle n’avait que quelques heures.

Ses parents était des fermiers pauvres, son père, pour passer au travers de ses journées, buvait souvent une bouteille complète d’alcool fort. Bref, c’était un alcoolique. En plus d’être pauvre, il passait la plupart de ses économies dans l’alcool au lieu que dans de la nourriture fraiche, des vêtements, et bien d’autre choses bien plus importante. Il n’était pas encore agressif, du moins c’est ce que nous pensions tous de lui.

C’est ce que nous pensions tous…

Spoiler:

Chapitre 2: Première Vie, Première Année.



Ca faisait un an déjà que la petite chose sans vie était née. Son corps minuscule s’était un peu développé, laissant place à des os plus grand, muscle très omniprésents, et un peu de matière grasse. Elle ne bougeait toujours pas, elle pouvait manger, c’était le seul exercice physique qu’elle pouvait supporter pendant une journée complète. Elle restait alors le jour, couchée dans sa couchette pour enfant, sous les yeux épuisés et inquiet de sa douce mère. Surement la seule personne qui s’occupait d’elle pendant toute la journée. Les jours passaient lorsque la neige et le froid revint dans le petit village, déjà faible et à l’affut de toutes maladies, elle tombait malade, dès la première année, de la grippe. Un grand virus pour un petit corps fragile comme l’était celui de Mélodie. Il était bien difficile de savoir quand la petit Mélodie était malade, car, a chaque jours de l’année, elle semblait inerte, elle ne bougeait jamais, c’est a peine qu’elle ouvrait les yeux pour croiser le regard de sa mère. Et cela ne durait que quelques minutes. Cet hiver là, manqua alors d’emmener la petite fille dans la froideur et l’effroi des abysses de la mort...

Les abysses de la mort… Plutôt une nouvelle vie…

Deuxième Extrait du journal de sa mère :

Ô grand Odéon,

Bénis ceux que j’aime...

«Ca fais déjà un an que j’ai accouchée de ma petite Mélodie, déjà, les soigneurs semblaient surpris qu’elle es toujours en vie, peu importe dans quel état elle est, qu’elle est tenu jusqu'à aujourd’hui. Un jour, j’en suis certaine, elle marchera et vivra une vie hors de l’ordinaire…


Une autre vie...

Ô grand Odéon,

Bénis ceux que j’aime…

** Un autre note était attachée plus bas dans le journal**

« Tu es une vrai personne, et tu avais besoin de moi pour survivre… Mélodie, ma chair et mon sang. À moitié ton père et à moitié moi, mais cent pour cent toi. Pas une poupée, pas un symbole, mais une vrai personne avec une vie toute neuve qui s’ouvrira a toi..

Et sous mon entière responsabilité.»

Et si seulement c’était vrai…


Si c’était vrai…