(HRP) Je tiens à spécifier que je viens d'inventer mon BG au fur et à mesure. Il aura certainement beaucoup de points à améliorer et des fautes à corriger, mais je désire quand même vous donner un aperçu de ce que Kazak sera.
Mélodie de la mort
Le soleil se couchait tranquillement sur le village Daelwanna lorsque Faenir, un Daelwanna d'âge mature était assit, adossé à un grand chêne. Faenir faisait comme il avait toujours fait, il jouait de la musique. La mélodie envoutante qui émanait de son luth était d'une beauté remarquable. Chaque jour ou presque, Faenir allait près de ce chêne et pratiquait. Les gens des alentours aimaient bien sa musique et sa prestance. Certains d'entre eux l'écoutait durant des heures, sans même s'en lâsser. Au fil des années, Faenir recevait régulièrement la visite de ses comparses, qui désiraient l'écouter. Il recevait même, à chaque jour, la visite d'un corbeau qui semblait apprécier le son que dégageait son instrument, que certains qualifiaient même, de magique. Puis vint le jour où la tragédie arriva. Alors que Faenir était à son endroit habituel et jouait d'une fière allure, quelque chose d'imprévisible se produit. Une série d'événements étranges se fit sentir. Alors que Faenir venait de commencer à pratiquer, il aperçu le corbeau, qui était toujours fidèle à son poste, sur l'arbre. Mais cette fois le corbeau n'était pas pareil. En effet, il ne bougeait pas, tête vers le bas, suspendu à une branche par la patte. Il donnait l'impression de ne présenter aucun signe de vie. Faenir, trouvant se phénomène étrange, décida de grimper dans le chêne, pour tenter de voir si l'oiseau était toujours en vie. Il monta quelques instants, jusqu'à ce qu'il soit à la hauteur du corbeau. Il avanca tranquillement l'une de ses mains en direction de l'oiseau. C'est alors que le pire arriva. Faenir perdit pied et se retrouva au sol en moins de deux. Malheureuse fût la mort de celui-ci, lorsqu'un Daelwanna l'aperçu, le cou visiblement cassé.
Les Daelwannas se rassemblèrent et conclurent qu'ils laisseraient Faenir, au pied du grand chêne qui avait été présent toute sa vie, enterré. Un an plus tard, alors qu'il faisait nuit, des mouvements étranges firent bouger l'herbe au dessus de l'endroit où il avait été enterré. Soudainement, quelque chose ressemblant à un doigt sorti, puis vint le bras, le corps, les jambes. Une odeur de renfermée suivit également cette scène. La peau de ce drôle de personnage était plus ou moins présente sur son corps, laissant plusieurs endroits dont son ventre, dépourvu de peau. Après s'être complètement sorti du trou, il prit le luth qui avait été laissé sur la terre en guise de souvenir puis jeta un regard au corbeau, toujours accroché à l'arbre. Il le regarda pendant plusieurs minutes, puis après un long instant, il haussa ses semblants d'épaules, puis se mit à marcher. Kazak marcha presque tout la nuit, pour finalement arriver à Mortancia. Kazak ne trouva nul autre activité que de jouer l'instrument qu'il avait trouvé. Étrangement, cet instrument lui rappellait quelque chose, une chanson, si douce à ce qu'il restait de ses oreilles. Chaque fois que Kazak joue de la musique, il est envahit d'une grande mélancolie, puis , dans un élan d'inspiration, il lui arrive d'inventer des poèmes, pour passer le temps, si triste pour lui.